top of page

[ MANON ]

VERSION FRANCAISE (ENGLISH BELOW)


Bonjour ! Je m’appelle Manon Legros, une française, née en Suisse. J’ai fait ma scolarité en France, jusqu’à ce qu’en 2018, ma professeure qui s’occupe des échanges Erasmus propose de choisir 15 élèves de la promotion pour partir un semestre à l’étranger.

Motivée par l’envie de quitter la France pour quelques mois et partir à l’aventure, je dépose ma candidature, et me voilà à Budapest.


Ayant toujours eu l’habitude de voyager avec ma famille à travers, l’Europe, et plus, j’avais envie pour une fois d’aller seule dans un autre pays et d’y vivre pleinement l’aventure Erasmus, de quitter mon cocon, d’apprendre l’anglais, de rencontrer des jeunes du monde entier et découvrir un autre type d’enseignement scolaire, bien différent de celui en France.


Du haut de mes 20 ans seulement, Budapest a été la meilleure expérience de ma vie. Un enrichissement personnel grâce aux rencontres que j’ai pu faire, aux professeurs dévoués pour les étudiants Erasmus, mais aussi avec les nombreux voyages. La position géographique de la Hongrie est optimale pour cela ! Avec mes amis, nous pensions à une destination, et du jour au lendemain, en quelques clics, des billets de bus, une auberge de jeunesse, un sac à dos et à nous la Slovénie, Slovaquie, République Tchèque, Pologne et bien d’autres, comme la Norvège par exemple, en effet, rien avoir avec la Hongrie, mais l’aéroport de Budapest propose des billets très bas pour voyager, ce qui n’est pas toujours le cas en France.


J’ai adoré la ville de Budapest, une capitale magnifique où je m’y suis toujours sentie bien, de nombreux monuments, admirables, et d’ampleur. Une des particularités de la ville est la présence de bains thermaux atypiques et agréables pour se détendre. Et, très important pour moi : une capitale parfaite pour une vie étudiante nocturne plus que développée !


J’ai toujours dit que pour comprendre l’expérience d’un Erasmus, il faut la vivre.

“Erasmus is not one year in your life, but your life in one year. “


Le retour en France : à la réalité. Ça a été terrible. Il me restait 3 mois de cours, puis j’ai obtenu mon diplôme, DUT GACO. Après, je ne voulais pas me lancer dans une licence en France, j’avais envie de repartir prendre l’air, et ce pendant une année sans pour autant prendre du retard dans mon parcours scolaire donc j’ai choisi la formule du DUETI : Licence à l’étranger. Actuellement, je devrais être en Corée du Sud, or, la crise sanitaire en a voulu autrement, et je me suis rabattue sur un pays européen ensoleillé : La Grèce.


Je pense m’être sentie européenne à la fin de mes années lycée grâce à toutes les conférences MUN (Model United Nations) auxquelles j’ai participé. Une ouverture d’esprit et une motivation dans la recherche d’informations sur ce qu’il se passe en Europe et dans le monde. Puis ce sentiment d’appartenance s’est renforcé grâce à mes mobilités. Le programme Erasmus fait en sorte que les jeunesses européennes se rencontrent et j’ai pris conscience de la chance que nous, étudiants, avons de pouvoir partir en mobilité dans des universités partenaires, et ce, avec une aide financière de l’Etat.

Pour finir, d’après certaines études, les jeunes qui voyagent sont davantage appréciés par les recruteurs alors, que du bénéfice !


PS : Je viens de rejoindre l’association pour quelques semaines, avec comme mission d’animer et créer du contenu digital sur les réseaux sociaux de Breizh Europe Finistère, alors, restez connecté !


 

ENGLISH VERSION (by Lucy COOPER)


[ MANON ]


Hello ! My name is Manon Legros, I’m French, but born in Switzerland. I was educated in France until 2018, when my teacher who was in charge of Erasmus exchanges suggested 15 students could be chosen to do an Erasmus exchange.

Motivated by the desire to leave France for a few months as well as the desire for adventure, I submitted my application and ended up in Budapest.


Having always had the habit of travelling with my family across Europe, as well as further afield, I wanted to travel alone for once to another country and to live the Erasmus adventure fully, to leave my cocoon, to learn English, to meet young people from all over the world and to discover another education system, very different from that of France.


From my sole 20 years on this planet, Budapest was the best experience of my life. My life has been enriched thanks to the people that I met, teachers dedicated to Erasmus students, and also numerous trips. The geographical position of Hungary is perfect for travel ! With my friends, we’d think of a destination and by the next day… within a few clicks, bus tickets, a youth hostel, and a backpack: Slovenia, the Czech Republic, Poland and many other countries were ready to be discovered, like Norway for example. In fact, nothing to do with Hungary, but Budapest airport offers very low-price tickets, which isn’t always the case in France.


I loved the city of Budapest, a magnificent capital where I always felt good, with multiple monuments, which were admirable and were massive. One of the peculiarities of the city is the presence of thermal baths, which were very nice to relax in. And, very important for me: a very developed nightlife!


I’ve always said that to understand the Erasmus experience, you need to live it. Erasmus is not one year in your life, but your life in one year’


The return to France: a plunge back into reality. It was terrible. I had three months of my studies left, and then I got my diploma in business studies. Afterwards, I didn’t want to launch myself into a degree in France. I wanted to leave again to take a breath, and it was during this year (where I didn’t want to fall behind), that I chose to do another technological diploma abroad. Currently, I should be in South Korea, but the current crisis wanted something different, meaning that I fell back on a sunny European country: Greece.


I think that I felt European towards the end of my high school years thanks to all the Model United Nations conferences that I attended. They gave me an open mind and the motivation to find out information about what’s going on in Europe and the rest of the world. Then, this feeling of belonging was reinforced thanks to my experiences abroad. The Erasmus programme brings European youth together and I’m aware of the luck that we, as students, have to be able to travel to different foreign universities with financial help from the state.

To conclude, as shown by numerous studies, young people that travel are now more sought-after by recruiters, so this experience can only be beneficial!


PS: I’ve just joined the Breizh Europe Finistère for a few weeks, with the goal of creating digital content for its social media pages, so stick around and stay connected!



Comments


bottom of page